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Track List
01) Give Life Back to Music
02) The Game of Love
03) Giorgio by Moroder
04) Within
05) Instant Crush
06) Lose Yourself to Dance 
07) Touch
08) Get Lucky
09) Beyond
10) Motherboard
11) Fragments of Time
12) Doin' It Right
13) Contact
14) Horizon
01) Give Life Back to Music
02) The Game of Love
03) Giorgio by Moroder
04) Within
05) Instant Crush
06) Lose Yourself to Dance
07) Touch
08) Get Lucky
09) Beyond
10) Motherboard
11) Fragments of Time
12) Doin' It Right
13) Contact
14) Horizon
4:34
5:21
9:04
3:48
5:37
5:53
8:18
6:07
4:50
5:41
4:39
4:11
6:21
4:24
Data Complete
80%
Total Rating
80%Total Rating
(6 users)
Back Cover
CD Art
3D Case
3D Thumb
3D Flat
3D Face
3D Spine
First Released
2013
House
Happy
Electronic
---
Medium
Album
0 copies
Album Description
Available in:
Random Access Memories est le quatrième album studio de Daft Punk, dont la date de sortie officielle est le 20 mai 2013. Il est publié par Daft Life Limited, une filiale de Columbia Records. L'album comprend des collaborations avec plusieurs artistes tels que Nile Rodgers, Paul Williams, Giorgio Moroder, Pharrell Williams, Todd Edwards, DJ Falcon, Chilly Gonzales, Panda Bear et Julian Casablancas et se caractérise, en tant qu'hommage au son des années 1970, par le parti pris d'utiliser des vrais instruments (guitare, basse, batterie, piano, cuivres etc..) en limitant l'usage des machines électroniques. À sa publication, l'album rencontre un important succès international, dépassant déjà le million d'exemplaires lors de sa première semaine de vente.
Dès la première semaine, l'album se classe premier quasiment partout dans le monde. Random Access Memories semble être le plus grand succès de cette année. Véritable buzz mondial, l'album devient le plus vendu dans le monde lors de sa première semaine de vente.
En France, l'album se vend lors de la première semaine à plus de 195 000 exemplaires et réalise la plus grosse vente numérique en une semaine (67 335 exemplaires). Il est dans le même temps certifié double disque de platine en seulement sept jours.
Au Royaume-Uni, l'album réalise le meilleur démarrage de l'année dans ce pays avec 217 892 exemplaires écoulés en une semaine.
Daft Punk se hisse également en tête des charts américains en vendant plus de 330 000 albums lors des sept premiers jours.
Dans Rock & Folk, Philippe Manœuvre parle de « 73 minutes de folie créatrice » et compare Random Access Memories à A Wizard, A True Star, album de Todd Rundgren, dont le groupe a d'ailleurs utilisé un morceau dans le film Daft Punk's Electroma. Le journaliste évoque également un son « exceptionnel » et « très sophistiqué » et ajoute que le disque est une prise de risque énorme, « pour eux comme pour leur maison de disques ». Enfin, il qualifie l'album de « vertigineux, brillant » et « exceptionnel ».
Le magazine français Les Inrockuptibles, par la plume de Pierre Siankowski, parle de ce nouvel album comme étant l’un « des chefs-d’œuvre de cette année 2013 ».
Quant à Télérama, il accorde à l'album ses quatre clefs, écrivant des Daft Punk qu'« on les retrouve apaisés, presque farceurs, célébrant joyeusement les bacchanales des musiques populaires ».
Pour Libération, en revanche, Random Access Memories « est un disque embarrassant de pop funk sans engagement » et « qui se contente trop souvent de faire "à la façon de" ». Le quotidien considère l'album comme « passéiste » et s'interroge : « depuis quand le passé est-il plus intéressant que le présent ? ». Selon le journal, seul le morceau Touch, « le Bohemian Rhapsody des Daft Punk », mérite une véritable attention puisqu'il « tire vers le haut » l'album.
User Album Review
What has been will be again, what has been done will be done again; there is nothing new under the sun.” So said the Preacher of Ecclesiastes. And he said it two and a half thousand years ago, which puts people moaning about things sounding like the ’80s into perspective.
It’s rare to hear a record that doesn’t sound like anything you’ve ever heard, and rarer still to hear one that also puts a smile on your face. How many great bands turn their backs on putting out the same old shit only to release records so calculatingly ‘out there’ they feel like maths homework? They forget this is supposed to be FUN. Yeah, Radiohead, I’m talking to you.
Daft Punk have enjoyed near-universal acclaim over 20 years and three albums but ‘Random Access Memories’ is their greatest achievement: an ambitious masterpiece you can’t imagine being made by anyone other than Thomas Bangalter and Guy-Manuel de Homem-Christo.
Opener ‘Give Life Back To Music’ sets the tone with guitars that wouldn’t have sounded out of place on Giorgio Moroder’s Top Gun score. It features Chic’s Nile Rodgers and Paul Jackson Jr, who played on ‘Thriller’, so it’s as funky as you’d expect. The sound of a happy crowd gurgles in the background. The party’s right here.
‘The Game Of Love’ slips into a slower tempo, as a melancholy android discovers heartbreak. The record is loosely themed around a robot’s attempt to become human, and if he needs a guide who better than the producer who gave us Donna Summer’s ‘I Feel Love’? ‘Giorgio By Moroder’ is a documentary of sorts, in which the titular hero narrates his life story. When he describes the beginnings of the disco beat, we hear an insistent click track. When he tells us that when we create art there are no rules, the music proves him right. It’s a life-affirming salute to the power of the imagination.
After this, there’s a sea change. Chilly Gonzales plays a 45-second piano solo that takes us into ‘Within’, marking the transition from the first three tracks. This is a record that’s been painstakingly slaved over. The track itself is restrained, as our robot protagonist begins to realise just how much he’s yet to understand.
He’ll be hard-pressed to catch all of Julian Casablancas’ quickfire lyrics on ‘Instant Crush’, an instant nightclub anthem. ‘Lose Yourself To Dance’ is paired with ‘Get Lucky’, representing the album’s poppiest moments and featuring the dream team of Nile Rodgers and Pharrell Williams. Sitting between the two is the record’s startling centrepiece, ‘Touch’. Paul Williams might be best known as a composer for the Muppets, but Daft Punk love him best as Swan, the villainous antihero of operatic horror film Phantom Of The Paradise. His background in psychedelic storytelling is put to use on an eight-minute epic that changes shape every time you draw breath.
‘Beyond’ is another melancholy-hearted collaboration with Paul Williams. ‘Motherboard’ is a long, spacey instrumental that sounds as if it’s somehow melting. ‘Fragments Of Time’ is a further glorious high in which Todd Edwards describes his time in LA and makes you feel like you’re driving a fast car down the west coast of the USA. ‘Doin’ It Right’ features Panda Bear of Animal Collective and is the album’s most forward-looking moment; closing track ‘Contact’ is a DJ Falcon collaboration, and an example of pure musical adrenalin.
By assembling a cast of their favourite musicians and delving into their adolescent memories, Daft Punk have created something as emotionally honest as any singer-songwriter confessional – and a lot more fun to dance to. Go out and rejoice: there’s something new under the sun.
https://www.nme.com/reviews/daft-punk/14423
External Album Reviews
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Available in:
Random Access Memories est le quatrième album studio de Daft Punk, dont la date de sortie officielle est le 20 mai 2013. Il est publié par Daft Life Limited, une filiale de Columbia Records. L'album comprend des collaborations avec plusieurs artistes tels que Nile Rodgers, Paul Williams, Giorgio Moroder, Pharrell Williams, Todd Edwards, DJ Falcon, Chilly Gonzales, Panda Bear et Julian Casablancas et se caractérise, en tant qu'hommage au son des années 1970, par le parti pris d'utiliser des vrais instruments (guitare, basse, batterie, piano, cuivres etc..) en limitant l'usage des machines électroniques. À sa publication, l'album rencontre un important succès international, dépassant déjà le million d'exemplaires lors de sa première semaine de vente.
Dès la première semaine, l'album se classe premier quasiment partout dans le monde. Random Access Memories semble être le plus grand succès de cette année. Véritable buzz mondial, l'album devient le plus vendu dans le monde lors de sa première semaine de vente.
En France, l'album se vend lors de la première semaine à plus de 195 000 exemplaires et réalise la plus grosse vente numérique en une semaine (67 335 exemplaires). Il est dans le même temps certifié double disque de platine en seulement sept jours.
Au Royaume-Uni, l'album réalise le meilleur démarrage de l'année dans ce pays avec 217 892 exemplaires écoulés en une semaine.
Daft Punk se hisse également en tête des charts américains en vendant plus de 330 000 albums lors des sept premiers jours.
Dans Rock & Folk, Philippe Manœuvre parle de « 73 minutes de folie créatrice » et compare Random Access Memories à A Wizard, A True Star, album de Todd Rundgren, dont le groupe a d'ailleurs utilisé un morceau dans le film Daft Punk's Electroma. Le journaliste évoque également un son « exceptionnel » et « très sophistiqué » et ajoute que le disque est une prise de risque énorme, « pour eux comme pour leur maison de disques ». Enfin, il qualifie l'album de « vertigineux, brillant » et « exceptionnel ».
Le magazine français Les Inrockuptibles, par la plume de Pierre Siankowski, parle de ce nouvel album comme étant l’un « des chefs-d’œuvre de cette année 2013 ».
Quant à Télérama, il accorde à l'album ses quatre clefs, écrivant des Daft Punk qu'« on les retrouve apaisés, presque farceurs, célébrant joyeusement les bacchanales des musiques populaires ».
Pour Libération, en revanche, Random Access Memories « est un disque embarrassant de pop funk sans engagement » et « qui se contente trop souvent de faire "à la façon de" ». Le quotidien considère l'album comme « passéiste » et s'interroge : « depuis quand le passé est-il plus intéressant que le présent ? ». Selon le journal, seul le morceau Touch, « le Bohemian Rhapsody des Daft Punk », mérite une véritable attention puisqu'il « tire vers le haut » l'album.
User Album Review
What has been will be again, what has been done will be done again; there is nothing new under the sun.” So said the Preacher of Ecclesiastes. And he said it two and a half thousand years ago, which puts people moaning about things sounding like the ’80s into perspective.
It’s rare to hear a record that doesn’t sound like anything you’ve ever heard, and rarer still to hear one that also puts a smile on your face. How many great bands turn their backs on putting out the same old shit only to release records so calculatingly ‘out there’ they feel like maths homework? They forget this is supposed to be FUN. Yeah, Radiohead, I’m talking to you.
Daft Punk have enjoyed near-universal acclaim over 20 years and three albums but ‘Random Access Memories’ is their greatest achievement: an ambitious masterpiece you can’t imagine being made by anyone other than Thomas Bangalter and Guy-Manuel de Homem-Christo.
Opener ‘Give Life Back To Music’ sets the tone with guitars that wouldn’t have sounded out of place on Giorgio Moroder’s Top Gun score. It features Chic’s Nile Rodgers and Paul Jackson Jr, who played on ‘Thriller’, so it’s as funky as you’d expect. The sound of a happy crowd gurgles in the background. The party’s right here.
‘The Game Of Love’ slips into a slower tempo, as a melancholy android discovers heartbreak. The record is loosely themed around a robot’s attempt to become human, and if he needs a guide who better than the producer who gave us Donna Summer’s ‘I Feel Love’? ‘Giorgio By Moroder’ is a documentary of sorts, in which the titular hero narrates his life story. When he describes the beginnings of the disco beat, we hear an insistent click track. When he tells us that when we create art there are no rules, the music proves him right. It’s a life-affirming salute to the power of the imagination.
After this, there’s a sea change. Chilly Gonzales plays a 45-second piano solo that takes us into ‘Within’, marking the transition from the first three tracks. This is a record that’s been painstakingly slaved over. The track itself is restrained, as our robot protagonist begins to realise just how much he’s yet to understand.
He’ll be hard-pressed to catch all of Julian Casablancas’ quickfire lyrics on ‘Instant Crush’, an instant nightclub anthem. ‘Lose Yourself To Dance’ is paired with ‘Get Lucky’, representing the album’s poppiest moments and featuring the dream team of Nile Rodgers and Pharrell Williams. Sitting between the two is the record’s startling centrepiece, ‘Touch’. Paul Williams might be best known as a composer for the Muppets, but Daft Punk love him best as Swan, the villainous antihero of operatic horror film Phantom Of The Paradise. His background in psychedelic storytelling is put to use on an eight-minute epic that changes shape every time you draw breath.
‘Beyond’ is another melancholy-hearted collaboration with Paul Williams. ‘Motherboard’ is a long, spacey instrumental that sounds as if it’s somehow melting. ‘Fragments Of Time’ is a further glorious high in which Todd Edwards describes his time in LA and makes you feel like you’re driving a fast car down the west coast of the USA. ‘Doin’ It Right’ features Panda Bear of Animal Collective and is the album’s most forward-looking moment; closing track ‘Contact’ is a DJ Falcon collaboration, and an example of pure musical adrenalin.
By assembling a cast of their favourite musicians and delving into their adolescent memories, Daft Punk have created something as emotionally honest as any singer-songwriter confessional – and a lot more fun to dance to. Go out and rejoice: there’s something new under the sun.
https://www.nme.com/reviews/daft-punk/14423
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Instant classic album, could listen to this all day long. Genious!