Album Title
Pink Floyd
Artist Icon The Dark Side of the Moon (1973)
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3D Face
Album 3D Face

3D Spine
Album Spine

First Released

Calendar Icon 1973

Genre

Genre Icon Progressive Rock

Mood

Mood Icon Dreamy

Style

Style Icon Rock/Pop

Theme

Theme Icon Mental Health

Tempo

Speed Icon Medium

Release Format

Release Format Icon Album

Record Label Release

Speed Icon EMI

World Sales Figure

Sales Icon 50,000,000 copies

Album Description
Available in: Country Icon Country Icon Country Icon Country Icon Country Icon Country Icon Country Icon
The Dark Side of the Moon est le huitième album studio du groupe de rock progressif britannique Pink Floyd. Paru le 10 mars 1973 aux États-Unis et le 23 mars 1973 au Royaume-Uni, il est souvent considéré comme leur album le plus abouti. Il aborde des thèmes modernes et universels, comme le travail, l'argent, la vieillesse, la guerre, la folie et la mort.

The Dark Side of the Moon a la particularité d'avoir été joué pour la première fois le 20 janvier 1972, soit plus de treize mois avant sa sortie, et d'avoir été joué et retravaillé durant tout ce temps, sur scène. Le matériel alors utilisé était d'ailleurs bien plus sophistiqué que celui utilisé pour l'enregistrement de l'album. Le groupe se servit, pour l'enregistrement, de techniques encore rares à l'époque, et utilisa des synthétiseurs analogiques, comme le VCS 3, sur plusieurs des pistes. Alan Parsons était l'ingénieur du son responsable de l'enregistrement, et notamment des principaux aspects sonores présents comme la performance de Clare Torry sur The Great Gig in the Sky.

La pochette, réalisée par George Hardie, de Hipgnosis, est la réponse à la demande du groupe d'un concept graphique « simple et audacieux ». Le célèbre prisme représente l'éclairage scénique du groupe, et le livret original de l'album contenait les paroles des chansons de l'album.

Resté dans le Billboard 200 américain pendant une période record de 809 semaines — l'équivalent de 15 ans — dont 591 consécutives, le disque représente, jusqu'à aujourd'hui, l'une des meilleures ventes d'albums de tous les temps. Les titres Money et Us and Them/Time sont sortis en single, et Money est devenu le premier à propulser Pink Floyd en tête des ventes.

L'album est paru à l'origine dans une pochette LP conçue par Hipgnosis et George Hardie et portant le prisme dispersif, devenu emblématique, du groupe. Hipgnosis avait déjà créé plusieurs des pochettes d'albums du groupe, et en avait obtenu des résultats parfois controversés ; EMI avait déjà réagi de façon confuse face aux pochettes de Atom Heart Mother et de Obscured by Clouds, s'attendant à des compositions plus classiques incluant des lettrages et des mots. Les concepteurs Storm Thorgerson et Aubrey Powell étaient alors en mesure d'ignorer de telles critiques, alors qu'ils étaient employés par le groupe. Pour The Dark Side of the Moon, Richard Wright leur demanda de créer quelque chose de « plus intelligent, de plus soigné et de plus chic » (smarter, neater—more classy). Le dessin du prisme fut inspiré par une photographie que Thorgerson avait vue lors d'une session de brainstorming avec Powell.

L'illustration fut créée par leur associé, George Hardie. Hipgnosis avait proposé au groupe un choix de sept pochettes différentes, mais les quatre membres du groupe furent immédiatement d'accord sur le fait que le prisme était de loin le meilleur. Le dessin représente trois éléments : l'éclairage de scène du groupe, les paroles de l'album et la requête de Richard Wright pour quelque chose de « simple et audacieux » (simple and bold). Le spectre lumineux s'étend à travers l'intégralité de la pochette, une idée de Waters. Ajouté peu après, la pochette inclut également un électrocardiogramme du battement de cœur utilisé à travers l'album, et le dos de l'album fait apparaître un autre prisme recombinant la lumière diffractée, selon une suggestion de Thorgerson, facilitant ainsi une disposition esthétique de l'album pour les disquaires. Les bandes de couleurs émanant du prisme de la pochette ne comportent en revanche que six couleurs, ne faisant pas paraître l'indigo par rapport à la division traditionnelle des couleurs en rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet (un prisme réel faisant apparaître un spectre continu, on ne distingue dans la réalité pas de frontières entre deux couleurs). À l'intérieur de la pochette, on pouvait trouver deux posters et divers autocollants autour du thème des pyramides. L'un des posters montre des photos des membres du groupe en concert, superposées avec des lettres éparpillées formant le mot PINK FLOYD, et l'autre une photographie infrarouge des pyramides de Gizeh, créée par Powell et Thorgerson.

Depuis le départ du membre fondateur Syd Barrett en 1968, la charge de l'écriture des paroles est retombée sur les épaules de Waters. Il est par conséquent indiqué comme l'auteur des paroles de l'album, faisant de Dark Side of the Moon le premier d'une suite de cinq albums où Waters est crédité comme l'unique parolier du groupe (les livrets des albums Wish You Were Here, Animals et The Wall le créditent en effet comme seul parolier. The Final Cut est quant à lui considéré comme étant de facto un album de Waters). Le groupe avait tant confiance en la qualité de l'écriture de Waters que, pour la première fois, ils se sentirent en mesure d'imprimer les paroles dans le livret de l'album. Lorsque, en 2003, il lui fut demandé si sa contribution à l'album fut « l'organisation des idées et des cadres » et celle de David Gilmour « la musique », Waters répondit :

« C'est des conneries. La question n'est même pas que Dave ait besoin d'être motivé pour sortir le meilleur de son jeu de guitare. Et c'est un excellent guitariste. Mais l'idée qu'il a essayé de propager toutes ces années, comme quoi il aurait un sens de la musique plus prononcé que le mien, est une putain d'absurdité. C'est une idée ridicule mais les gens semblent assez contents d'y croire. »

Le succès de l'album fut la source d'une richesse jusqu'alors inconnue aux quatre membres du groupe : Richard Wright et Roger Waters s'achetèrent de grandes maisons en province, et Nick Mason commença à collectionner les voitures haut-de-gamme. Une part des bénéfices furent investis dans la production du film Monty Python : Sacré Graal !. L'ingénieur du son Alan Parsons fut nommé pour le Grammy Award de la Meilleure Conception d'Enregistrement, Catégorie Non Classique ("Best Engineered Recording, Non-Classical") pour son travail sur The Dark Side of the Moon, et cela le mena à une carrière d'artiste très prolifique. Bien que Waters et Gilmour eussent à l'occasion minimisé sa contribution à l'album, Mason la loua souvent. En 2003, Parsons eut la réflexion suivante : « Je crois qu'ils ont tous ressenti que j'avais rattaché tout le reste de ma carrière à The Dark Side of the Moon, ce qui n'est pas entièrement faux. Mais je me lève encore, parfois, frustré à l'idée du fait qu'ils gagnèrent des millions à l'insu de tous, contrairement à nombre de personnes qui travaillèrent avec eux sur cet enregistrement. » Lors de l'enregistrement de l'album, il ne fut en effet payé que 35 £ par semaine pour son travail.
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User Album Review
The official site for the umpteenth re-release of this old chestnut presents you with a daunting array of statistics that, if you're under the age of 30, will probably seem like the ravings of (appropriately enough) a lunatic. For if, by some freak circumstance (lost in Pacific jungle for thirty years/coma/just plain don't like lousy guitar bands etc.), you hold this CD in your hands for the first time, listen up: Dark Side Of The Moon spent an incredible ELEVEN CONSECUTIVE YEARS in the top 100 and has notched up a total of FOURTEEN YEARS lodged in the same place. That's a lot of Lear jets and football teams. But what new can be said?
Well, it now comes with an extra layer of new enhanced 5.1 surroundsound thingummy with (naturally) Dobly [sic]. And it's got a lovely new stained glass effect cover courtesy of Storm Thorgerson and his hilariously named Hipgnosis cohorts. And the music?
Contextually speaking this was the Floyd's saving grace. By 1972 they'd firmly claimed the avant garde (read: musically unadventurous but prone to hitting large gongs and setting fire to stuff onstage) art rock mainstream as their own playground. Yet these middle-class boys still craved, like, bread, man. After a prolonged period of fumbling soundtracks for European arthouse movies they'd finally emerged from under the shadow of founder/visionary/lost-marble icon, Syd Barrett with a coherently beautiful album, Meddle. Roger Waters had some big ideas about madness, life, death and all that deep stuff. EMI had a rather splendid studio with some top-notch engineers. Six months later...voila!
What made this concoction so popular at the time was a series of coincidences. The western world was now fully stereoed-up; the band hooked up with an immaculate engineer by the name of Alan Parsons (yes, that one with the project) and last, but not least, the band bothered to write some really fine songs. This was a long way from the half-baked nonsense that had plagued Ummagumma or Atom Heart Mother. Gilmour's guitar was now exquisitely tasteful (the heart still breaks over that little phrase about 36 seconds into ''Breathe'') and zen-like in what he could leave out (check the most underrated track ''Any Colour You Like''). The sound effects are as hackneyed as a 70s stereo demonstration record (that this album effectively replaced in most hi-fi stores at the time), yet the overall flow of the album still satisfies as it merges existential ballads (''Time'', ''Us And Them'') with cynical rockers (''Money'') and arena-impressing freak outs (''The Great Gig In The Sky'').
Too much scrutiny reveals a rhythm section that's laughably leaden, song structures that employ the same descending runs that appear on every Floyd album since Meddle (cf: ''Echoes'') and lyrics that embarrass with their sixth-form triteness. Yet how many writers will be saying the same of Radiohead's cosy attacks on globalisation and 21st century ennui on OK Computer (which owes such a huge amount to this album) in thirty years time? Ultimately it matters little. DSOTM is still a lovely record made brittle by overuse. One almost wishes that instead of spicing it up one more time, EMI had deleted it for a while to give us all room to breathe again...


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