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Hard to Explain
Music Video Links Taken for a Fool | Under Cover of Darkness | Is This It |
Hard to Explain | Juicebox | Call Me Back |
12:51 | Last Nite | At the Door |
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Artist BiographyAvailable in:
The Strokes est un groupe de rock américain formé à New York en 1998, élevant sa renommée dès le début des années 2000 comme l'un des groupes phares du renouveau garage rock et post-punk (revival). On les désigne souvent comme les héritiers du Velvet Underground et de Television, dont on remarque l'influence sur le groupe.
Leur musique intervient à une période de renouveau du rock (début des années 2000). Elle se caractérise à cette époque par la voix de Julian Casablancas, qui alterne facilement passages dans les aigus et les graves et par un enregistrement volontairement « sale ». Les deux guitares se distinguent bien de par leur rôle respectif. Celle de Nick Valensi (guitariste soliste) est basée sur celle de Albert Hammond Jr. (guitariste rythmique), qui tient toutes les parties rythmiques des morceaux. Nick Valensi est très prolifique sur les trois premiers albums (solos et riffs de The end has no hend, Reptilia, New york city cops, 12:51, etc.). Comme la voix, l'enregistrement des guitares est volontairement laissé sans traitement sonore particulier, ce qui donne un effet « sale », proche d'une sonorité live. La basse de Nikolai Fraiture est souvent associée à la rythmique du morceau (Is this it ?), mais peut aussi se détacher complètement de la structure du titre (Juicebox, Taken for a fool). Elle est un élément déterminant du « son Strokes ». La batterie de Fabrizio Moretti est assez simple et réputée par sa régularité.
À partir de Angles (2011), leur quatrième album, les Strokes ont fait évoluer leur musique en s'approchant d'un son plus electro : la voix de Julian Casablancas est enregistrée de manière plus conventionnelle et retravaillée par de nombreux effets. Les guitares expérimentent de nouvelles sonorités, laissant peu à peu leurs distorsions « sales » qui les caractérisaient tant. Des synthétiseurs et des boîtes à rythmes font leur apparition. Sur Comedown Machine (2013), Julian Casablancas chante très aigu, en voix de tête et les Strokes poursuivent leur évolution musicale avec des ballades et des morceaux expérimentaux (Call it fate, call it karma), vers un univers plus pop.
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