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Ballbreaker est le 14e album d'AC/DC sorti en 1995.
C'est le premier album studio du groupe depuis The Razors Edge, sorti cinq ans plus tôt. Très différent de ce dernier, dont les consonances hard rock viraient parfois au heavy metal, Ballbreaker constitue un retour au son des débuts du groupe, un son plus blues rock.
Cet album marque le retour du batteur Phil Rudd au sein du groupe. Il avait quitté le groupe pendant l'enregistrement de Flick of the Switch en 1983.
Ballbreaker constitue l'unique collaboration du groupe avec Rick Rubin, producteur éclectique ayant aussi bien travaillé avec Red Hot Chili Peppers que System of a Down, ou encore Slayer. Il avait déjà travaillé brièvement avec le groupe en 1993 en produisant la chanson Big Gun pour la bande son du film Last Action Hero.
Le son de l'album est brut de décoffrage au possible et dénué de tout artifice de studio ; il n'en reste pas moins massif, et rend parfaitement service au matraquage binaire et métronomique propre au groupe.
Si les guitares étaient saturées à l'extrême sur The Razors Edge, on revient ici à une sonorité "crunch" beaucoup plus naturelle, qui s'apparente parfois à un son clair fortement compressé. La voix de Brian Johnson subit le même traitement : exit notamment les delay et reverb souvent présents dans les précédents opus du groupe. Le timbre rauque et suraigu de l'ancien chanteur de Geordie est toujours là, mais Rubin l'expose sous un autre jour : en misant sur la profondeur et la proximité, il exploite des sonorités jusque-là inédites et non dépourvues d'intérêt.
User Album Review
In over 20 years, AC/DC never changed their minimalist, bone-crunching hard rock. During their first ten years, that wasn't a problem, since they were still finding ways to expand and subvert the pattern, but ever since For Those About to Rock, they had trouble coming up with consistent material. Consequently, their performances tended to be a little lazy and their records didn't deliver a reliable knockout punch. Released in 1990, The Razor's Edge showed some signs of life, and their comeback culminated in the Rick Rubin-produced Ballbreaker. What makes Ballbreaker different than the albums AC/DC churned out during the '80s is simple -- it's a matter of focus. Although "Hard as a Rock" comes close, there aren't any songs as immediately memorable as any of their '70s classics, or even "Moneytalks." However, unlike any record since Back in Black, there are no bad songs on the album. Surprisingly, Rubin's production is a bit too dry, lacking the muscle needed to make the riffs sound truly earthshaking. Nevertheless, Angus Young's riffs are powerful and catchy, showcasing every element that makes him one of hard rock and heavy metal's greatest guitarists. Throughout the album, the band sounds committed and professional, making Ballbreaker the best late-period AC/DC album to date.
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