Album Description Même s’il ne l’exhibe pas à outrance, Bonobo endosse cette fois la blouse du défricheur. Pour ces Black Sands, il a puisé ce qui se fait de plus excitant dans l’electro aujourd’hui : wonky, chiptune, 2-step… Mais s’il a mis du ressort dans sa mécanique, Bonobo n’en reste pas moins virtuose et offre des orchestrations jazz éloquentes (El Toro, Animals).
Plus qu’une nouvelle démonstration de ses capacités, ce quatrième album est l’épanchement d’une âme sensible. Quand vient le finale, guitares, cuivres et cordes ne forment plus qu’un matelas de mélancolie. La technologie s’est effacée pour laisser l’empreinte d’Andreya Triana, chanteuse fragile, qui par trois fois a joué le rôle de la plus petite poupée.
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