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Animal est le premier album studio de la chanteuse américaine Kesha. Le projet a pris sept ans pour aboutir. Kesha a pour cela écrit près de 200 chansons. L'album est réédité en 2011 avec l'EP Cannibal, sous le titre Animal + Cannibal. L'album est sortie sous le label RCA Records. Pour cet album Kesha Sebert a travaillé avec différents producteur et auteur de musique comme Lukasz Gottwald (Dr. Luke), Benny Blanco, David Gamson, Greg Kurstin ou Max Martin. Kesha enregistre depuis quelques années différentes démos lorsqu'une de ces démos arrive dans les mains de Samantha Cox, directrice des auteurs/éditeurs à BMI. Cox passe la démo qui finit par arriver dans les mains de Gottwald, qui décide de faire chanter Kesha sur la chanson Right Round de Flo Rida. En moins de deux mois, la chanson se classe première en Australie, Belgique (Wallonie), Canada, Irlande, Royaume-Uni, États-Unis. Cela permet à Kesha de signer un contrat pour plusieurs album avec RCA Records.
L'accueil de la critique professionnelle est moyen. Certains apprécient son fun, son naturel, lorsque d'autres disent que cela est enfantin et que cela ne parait pas sincère. L'utilisation de l'Auto-Tune sur l'album pour modifier la voix de Kesha que certains critiques trouvent amusant, d'autres voient cela de mauvais œil en ce expliquant qu'il est difficile de savoir si Kesha sait chanter. Les paroles sont basés pour la majorité des chansons sur l'expérience de vie de la chanteuse, l'amour, les ruptures, les garçons et prendre du bon temps. La musique dessine un album au genre musical dance-pop, qui incorpore des éléments electro et electropop dans la production et les rythmes. L'album connait un succès commercial, se classant en premier au Canada, États-Unis, et Grèce, et se classant dans le top 10 dans sept pays. Animal est certifié par disque de platine par la Recording Industry Association of America (RIAA) pour avoir été vendu à un million de copies aux États-Unis et à deux millions dans le monde.
Quatre singles sont extraits de l'album. Tik Tok est sortie le 7 août 2009, il devient un succès mondial se classant numéro un dans onze pays. En août 2010, le morceau accumule plus de 5 078 000 copies écoulées aux États-Unis seulement, devenant la septième chanson la plus vendue mondialement dans l’histoire numérique. Le deuxième, troisième et quatrième extrait, Blah Blah Blah, Your Love Is My Drug et Take It Off se classe dans le top dix dans plusieurs pays dont l'Australie, le Canada et les États-Unis.
User Album Review
Anyone who has enjoyed the woozy charms of Ke$ha’s global hit Tik Tok, or the equally pie-eyed follow-up Blah Blah Blah may find themselves wondering if she can sustain her drunk girl shtick for an entire album.
The fact that there’s a song here called Party at a Rich Dude’s House will not alleviate this concern one bit. Actually, it’s not that bad. The musical extremes on offer here can be mapped out in a triangle, with Kelly Clarkson at one corner, Princess Superstar in another, and Fergie in the third. So you get rocked-up songs about being a dirty stop-out; poppy dance songs about being a dirty stop-out; and power ballads about feelings.
The revelation is that Ke$ha can really properly sing, and she does. Stephen, a vulnerable ode to an unreliable crush, begins with beautiful layered a cappella harmonies. Sure, it tumbles into clunky pop straight afterwards, but then, that also seems to be what she does: beautiful things are bashed against ugly things, pretty melodies ruined by silly noises, emotional lyrics stuffed with buzzwords. Brilliantly, the most heartfelt moment on the album, the huge ballad which shows off her impressive bellow off to its best advantage, and the song which should take her furthest from her infamous party animal persona, is called Hungover.
Clever and stupid, in equal measure: that’s the Ke$ha way. Best of all is D.I.N.O.S.A.U.R., which could’ve been especially created to drive rock-bores into a state of spluttering fury. It is made of nothing but sugar and sass and additives, a song from a young girl to an older man who is attempting to pick her up in a club. All she has to offer him is a scattergun spray of insults, and cutie-pie whistling. It’s childish and Parental Advisory Required at the same time, and is going to infuriate any adult within hearing range.
That’s basically what Ke$ha is for. She’s a poster girl for youth gone wild, and to do that properly, you’ve got to be as annoying as you are charming. She does it properly.
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