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Track List
01) An Introduction from Dani Filth
02) The Cult of Venus Aversa
03) One Foul Step From the Abyss
04) The Nun With the Astral Habit
05) Retreat of the Sacred Heart
06) The Persecution Song
07) Deceiving Eyes
08) Lilith Immaculate
09) The Spawn of Love and War
10) Harlot on a Pedestal
11) Forgive Me Father (I Have Sinned)
12) Beyond Eleventh Hour
13) Beast of Extermination (Bonus Track)
14) Truth & Agony (Bonus Track)
15) 15 Mistress from the Sucking Pit (Bonus Trac
16) Behind the Jagged Mountains (Bonus Track)
01) An Introduction from Dani Filth
02) The Cult of Venus Aversa
03) One Foul Step From the Abyss
04) The Nun With the Astral Habit
05) Retreat of the Sacred Heart
06) The Persecution Song
07) Deceiving Eyes
08) Lilith Immaculate
09) The Spawn of Love and War
10) Harlot on a Pedestal
11) Forgive Me Father (I Have Sinned)
12) Beyond Eleventh Hour
13) Beast of Extermination (Bonus Track)
14) Truth & Agony (Bonus Track)
15) 15 Mistress from the Sucking Pit (Bonus Trac
16) Behind the Jagged Mountains (Bonus Track)
2:00
7:08
4:53
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5:34
6:44
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4:32
7:16
5:32
5:55
6:59
5:44
Data Complete
60%
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Back Cover
CD Art
3D Case
3D Thumb
3D Flat
3D Face
3D Spine
First Released
2010
Symphonic Metal
---
Metal
---
Fast
Album
0 copies
Album Description
Available in:
Darkly Darkly Venus Aversa est le neuvième album studio de Cradle of Filth, sorti le 1er novembre 2010, leur premier chez Peaceville Records.
L'histoire est un conte horrifique qui raconte la résurgence de Lilith (première femme d'Adam bannie du jardin d'Eden par Dieu car elle refusait d'avoir des rapports sexuels avec lui) dans une société moderne en tant que déité. les textes écrits par Dani Filth, très travaillés, parlent de sexe, d'érotisme et d'occulte. Des références sont faîte sur l'époque victorienne, la mythologie grecque et les l'ordre des templiers.
Plus brutal, plus sombre et considérablement plus rapide, Darkly Darkly Venus Aversa dévoile un Cradle beaucoup moins symphonique et narratif et ayant voulu garder une constance dans l’agressivité tout au long du disque, sans se perdre dans des intermèdes trop longs. Plus concis, les titres explosent instantanément en pleine face de l’auditeur avec un tranchant et une rugosité probablement jamais entendu chez le groupe. Sans instrumental comme de coutume chez Cradle, l’album se lance dès a première piste telle une furie à coup de blasts et de riffs Thrash, les claviers d'Ashley Ellyllon se retrouvant quasiment seul à porter les lignes mélodiques qui dévoilent un aspect héroïque et horrifique. L'utilisation plus importante des cuivres qu'auparavant renvoie un côté péplum. À côté de cela, quelques lignes plutôt Rock’n’Roll apportent un peu de swing dans ce matraquage qui amène jusqu’à la piste 5 où le groupe lève un peu le pied de la pédale de Thrash. "The Persecution Song" rappelle le morceau le plus pop du précédent album "The Death of Love". Dès lors, l’opus gagne en diversité. Le chant féminin finit par apparaître, les guitares finissent par porter des leitmotivs, des breaks atmosphériques voir étranges viennent émailler certains titres. "Harlot on a Pedestal" titre digne de Cruelty, déploit sa classe et on tombe même sur un drôle de titre "Forgive Me Father" Rock/Metal très Pop où Dani emploie une voix claire.
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Darkly Darkly Venus Aversa est le neuvième album studio de Cradle of Filth, sorti le 1er novembre 2010, leur premier chez Peaceville Records.
L'histoire est un conte horrifique qui raconte la résurgence de Lilith (première femme d'Adam bannie du jardin d'Eden par Dieu car elle refusait d'avoir des rapports sexuels avec lui) dans une société moderne en tant que déité. les textes écrits par Dani Filth, très travaillés, parlent de sexe, d'érotisme et d'occulte. Des références sont faîte sur l'époque victorienne, la mythologie grecque et les l'ordre des templiers.
Plus brutal, plus sombre et considérablement plus rapide, Darkly Darkly Venus Aversa dévoile un Cradle beaucoup moins symphonique et narratif et ayant voulu garder une constance dans l’agressivité tout au long du disque, sans se perdre dans des intermèdes trop longs. Plus concis, les titres explosent instantanément en pleine face de l’auditeur avec un tranchant et une rugosité probablement jamais entendu chez le groupe. Sans instrumental comme de coutume chez Cradle, l’album se lance dès a première piste telle une furie à coup de blasts et de riffs Thrash, les claviers d'Ashley Ellyllon se retrouvant quasiment seul à porter les lignes mélodiques qui dévoilent un aspect héroïque et horrifique. L'utilisation plus importante des cuivres qu'auparavant renvoie un côté péplum. À côté de cela, quelques lignes plutôt Rock’n’Roll apportent un peu de swing dans ce matraquage qui amène jusqu’à la piste 5 où le groupe lève un peu le pied de la pédale de Thrash. "The Persecution Song" rappelle le morceau le plus pop du précédent album "The Death of Love". Dès lors, l’opus gagne en diversité. Le chant féminin finit par apparaître, les guitares finissent par porter des leitmotivs, des breaks atmosphériques voir étranges viennent émailler certains titres. "Harlot on a Pedestal" titre digne de Cruelty, déploit sa classe et on tombe même sur un drôle de titre "Forgive Me Father" Rock/Metal très Pop où Dani emploie une voix claire.
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