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Reckoning est le second album du groupe de rock américain R.E.M.. Il a été enregistré au studio Reflection Sound à Charlotte, et sorti en 1984 sur le label indépendant I.R.S. Records. Salué par la critique et le public, les ventes ont été supérieures à celles du premier album.
Reckoning contient certaines des chansons les plus populaires de R.E.M. parmi lesquelles So. Central Rain (I'm Sorry) et (Don't Go Back To) Rockville. Évitant une nouvelle fois les thèmes romantiques, le parolier Michael Stipe se plaint du temps froid, narre un conte dans lequel un enfant se noie, parle d'inondation, de superficialité et de séparation. La musique au rythme enlevé est en contraste avec les paroles plutôt sombres. La dernière chanson, Little America, parle de l'Amérique rurale et préfigure les thèmes du sud des États-Unis évoqués sur l'album suivant Fables of the Reconstruction (1985).
La pochette originale mentionnait File under water, le thème de l'eau étant omniprésent dans cet album. Il faut dire que l'enregistrement eut lieu peu après une des plus gigantesques inondations qu'ait connue la Géorgie. Entre autres références :
- Les titres et paroles de Harborcoat et So. Central Rain
- « Seven Chinese brothers swallow in the ocean » (7 Chinese brothers)
- « Ask the girl of the hour by the watertower's clock » - (Time After Time)
- « The water is evening now/The catacombs are filling in » - (Letter Never Sent)
- « Diane is on the beach, do you realize the life she's led? » - (Little America)
Le titre de l'album Reckoning ayant également une signification maritime puisqu'il désigne le positionnement d'un navire.
L'illustration qui figure sur la pochette est le résultat d'une collaboration entre le chanteur Michael Stipe et un artiste de Géorgie Howard Finster.
Reckoning se classe 27ème dans le classement des meilleurs ventes d'album américain (certifié or en 1991), et devient le premier album de R.E.M. à entrer dans le classement équivalent au Royaume-Uni (n°91).
User Album Review
The second album from the Athens, Georgia band builds solidly on the muddy foundations of their debut; showing a more expansive sound from Peter Buck's guitar, that jangles, flirts with and teases Mike Mills' chirpy bass lines; all driven along by Bill Berry's muscular drumming. There's an upbeat, cheery swagger to the mix, with only a couple of tracks allowed to meander off like Sunday afternoon garage-band jams.
The major change in their sound however comes from Michael Stipe's fresh-laundered and sweet smelling vocals, that surface from the swamp-like sound of Murmur (their appropriately titled first album) to take a far more active role. When he shakes off his air of lethargic, suburban ennui, he lets an enormous passionate energy shine through, and it brightens up the whole R.E.M. experience.
Stipe is as querulous and apparently amazed by the modern world that he digs into here, but appears far more confident, if just as intriguingly obscure, as a lyricist. His elegant delivery, pitched in the lower register, demands comparison with the contemporary work of The Smiths over in Manchester, but Stipe's wry faux-innocence couldn't be anything but late-twentieth century American.
Although there's more than a hint of the Byrds' one-time fascination with harmony and a twelve-string Rickenbacker in its production, the set taken as a whole shows that R.E.M. remain ferociously indie and seemingly uninterested in mainstream success, secure in the embrace of their growing hometown audience, and happy to continue their thorough exploration of conventional rock format and song structures.
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