Album Title
R.E.M.
Artist Icon Fables of the Reconstruction (1985)
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CD Art
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3D Face
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3D Spine
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First Released

Calendar Icon 1985

Genre

Genre Icon Pop-Rock

Mood

Mood Icon Moody

Style

Style Icon Rock/Pop

Theme

Theme Icon ---

Tempo

Speed Icon Medium

Release Format

Release Format Icon Album

Record Label Release

Speed Icon Warner Bros. Records

World Sales Figure

Sales Icon 0 copies

Album Description
Available in: Country Icon Country Icon Country Icon
Fables of the Reconstruction est le troisième album du groupe de rock américain R.E.M. sorti sur le label I.R.S. Records, en 1985. Comme le montre la pochette, le titre est « circulaire » : l'album peut aussi être appelé Reconstruction of the Fables.

Malgré l'audience grandissante et les louanges des critiques après leurs deux premiers albums, Murmur et Reckoning, R.E.M. décide de changer de manière sensible leur style de musique et leurs habitudes d'enregistrement, à savoir : un nouveau producteur (Joe Boyd) et un nouveau lieu d'enregistrement (Londres, Angleterre).

Boyd était surtout connu pour son travail avec des musiciens de la scène folk anglaise moderne tels que Fairport Convention et Nick Drake. Cependant, Fables reste un album concept à la sauce R.E.M. Les paroles explorent la mythologie et les paysage du Sud des Etats-Unis. Le titre, Fables of the Reconstruction ou Reconstruction of the Fables, rend possible à la fois la référence à la période de reconstruction après la Guerre de Sécession et à la pratique d'analyse textuelle appelée déconstruction. L'origine du titre et du refrain de Cant Get There from Here, le premier single de l'album, est une phrase entendue lorsqu'on demande son chemin dans une zone rurale. Le vidéo-clip de Cant Get There From Here passe régulièrement sur MTV à l'époque mais le morceau ne réussit pas à se classer dans les hit-parades américains.

La première chanson Feeling Gravitys Pull décrit l'endormissement pendant qu'on lit; les paroles de Michael Stipe font aussi référence au surréaliste Man Ray et donnent le ton de l'album. Musicalement, c'était une chanson inhabituelle pour le groupe, la guitare de Peter Buck utilisant une échelle chromatique sombre et un quatuor à cordes, alors que les précédents albums démarraient par des chansons rock rythmées et aux guitares carillonnantes. Maps and Legends entre dans cette catégorie et comporte les harmonies vocales facilement reconnaissables du bassiste Mike Mills, chantant des paroles différentes de celles de Stipe, principe que l'on retrouve fréquemment durant les premières années du groupe. La chanson est dédiée au Révérend Howard Finster, un artiste underground et, d'après le groupe, « un homme de vision et de sentiment - un exemple pour tous » (Finster avait réalisé la pochette du précédent album de R.E.M.Reckoning l'année précédente).

Driver 8 décrit le paysage le long d’un ligne de chemin de fer en termes parfois abstraits. Les trains sont un thème récurrent des chansons du Sud américain, ils symbolisent la liberté et la promesse d’une fuite de sa région. Emmenée par un riff de guitare blues, ce fut l’une des chansons qui fut largement diffusée par les ‘’college radios’’, et un clip video fut réalisé. Démarrant par une douce introduction, Life and How to Live It est empreinte d’une toute autre atmosphère, racontant encore une histoire sur un arrangement folk rock. Sans mentionner son nom, la chanson pourrait bien parler de l’auteur originaire de Georgie Brivs Mekis, comme semble y faire allusion l’extrait live paru sur le disque bonus de And I Feel Fine... The Best of the I.R.S. Years 1982-1987.

Beaucoup de chansons de cette époque sont nées des expériences faites par le groupe lors de leurs tournées incessantes à travers le pays durant leurs premières années d’existence, ainsi que d’une prise de conscience politique croissante qui trouvera son expression sur les albums suivants Lifes Rich Pageant et Document. Stipe déclara plus tard que les paroles qu’il chantait sur les trois premiers albums ne voulaient pas dire grand-chose. Cependant, la chanson Green Grow the Rushes, qui contient les mots « the amber waves of gain » (« les vagues ambrées du gain ») est censée être à propos des travailleurs agricoles immigrés. Kohoutek évoque la Comète Kohoutek, et est peut-être l’une des toutes premières chansons de R.E.M qui parle d’une relation sentimentale. Auctioneer (Another Engine) est une autre chanson qui ne correspond pas au son du R.E.M. de l’époque, avec ses riffs de guitare tranchants et toujours des références aux veilles coutumes rurales du Sud.

La plaintive Good Advices contient des paroles de Stipe souvent citées : « When you meet a stranger, look at his shoes / keep your money in your shoes. ». Un personnage excentrique constitue le sujet des chansons Old Man Kensey et Wendell Gee. Cette dernière, une ballade sur fond de piano et banjo, soutenue par les harmonies vocales de Berry et Mills, fut le troisième et dernier single de l’album paru au Royaume-Uni seulement, mais il n'eut aucun impact commercial.

À sa sortie, Fables of the Reconstruction atteint la 28ème place des classements aux États-Unis (certifié disque d’or en 1991) et obtient le meilleur classement pour un album du groupe au Royaume-Uni, à la 35ème place. Enregistré pendant une période difficile à l’intérieur du groupe – largement dû au mal du pays et au triste hiver londonien – le groupe n’a jamais caché son manque d’enthousiasme pour cet album pendant des années, avis souvent partagé par les fans et la presse. Le batteur Bill Berry aurait déclaré au début des années 1990 que Fables of the Reconstruction « n’était pas terrible » ; Michael Stipe à une époque partageait cette opinion mais plus tard a considéré qu’il contenait certaines de ses plus remarquables chansons, concédant au producteur Joe Boyd qu’il avait appris à aimer l’album au fil du temps.

Fables est souvent caractérisé par un tempo assez lent et un son volontairement opaque, brumeux, qui contraste avec les précédents albums plus enlevés. Néanmoins, l’emploi d’instruments folk américains tel que le banjo sur Wendell Gee, et quelques orchestrations (cordes sur Feeling Gravitys Pull et cuivres sur Cant Get There From Here) marquent un tournant sur la route qui mènera le groupe vers le son à dominante acoustique qu’il adoptera lors de leur de sa percée commerciale à la fin des années 1980 et début 1990, avec des albums comme Green, Out of Time, et Automatic for the People.

Les notes de pochette mentionnent une chanson intitulée When I Was Young parmi les titres du disque mais celle-ci n’apparaît pas. Elle fut jouée trois ou quatre fois durant la tournée qui a précédé l’album en 1985 (le Preconstruction U.S. College tour), mais elle fut rapidement abandonnée. Toutefois, quelques lignes des paroles sont reparues sur I Believe, une chanson complètement différente qui figure sur l’album suivant Lifes Rich Pageant.
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User Album Review
Three albums into their career and R.E.M were about to hit a crisis. As with many bands, a lot of their new material was gleaned from a world-view shaped by endless touring. Such is the lot of a young band. The American landscape seeps into both Stipe's lyrics and the band's jangly, electric folk. With this in mind, it must have made perfect sense to enlist the help of uber-folk-rock producer, Joe Boyd; the man who produced classics by Nick Drake, Fairport Convention and Richard Thompson. Yet Boyd, though an American, was an Anglophile since his relocation to these isles in the 1960s, and the two camps had trouble communicating in the studio. Also, by recording in the UK, the band became homesick and stranded in a grey London in the grip of a fierce winter. It was a long way from sunny Athens, Georgia. Thus Fables... was recorded under a cloud, with tensions threatening to tear them apart.

In the end, Fables... is a murky, oblique take on some kind of mythologised southern rhetoric; filled with trains, old men passing tales around campfires and earthy, rural dadaism. Compared to the previous two albums there is a distinct shift in instrumentation, banjos appear (Wendell Gee) as well as a rather misjudged brass section in Can't get There From Here. Stipe's vocals are so muddy as to make interpretation of what he, himself, termed 'meaningless' lyrics frustrating. What does a line like "When you greet a stranger, look at her hands" really mean? It's the surface sound of his voice that matters here. An eery droning moan and whine that summons up visions of journeys yet to be completed.

Boyd's production is willfully flat - Peter Buck's guitar is a has one setting: Byrdsian - and one suspects that Bill Berry hated this album so much because he has so little to do on it. It can become a little wearing and you can sense the dispirited nature of the band's playing. Yet somehow it all fits the material. It's the sound of a band determined to develop yet not quite finding their next direction. As such, Fables...is a crucial part of R.E.M's growth. Ironically - considering the band's subsequent career arc - at the time its college rock austerity made a startling contrast to the stadium filling bombast of U2 and their ilk. These days it sounds like exactly what it's title says...a fable, lost in time.


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