Album DescriptionAvailable in:
Seventh Son of a Seventh Son est le septième album du groupe de Heavy Metal britannique Iron Maiden, sorti le 23 avril 1988, c'est un album-concept inspiré notamment du folklore anglo-saxon et du roman Le Septième Fils
Cet album représente un des plus gros travaux du groupe et demeure probablement le plus perfectionné. L'album atteindra d'ailleurs la première position des charts britanniques à sa première semaine de parution, grâce aux morceaux Can I Play with Madness, The Clairvoyant ou encore The Evil that Men Do.
Seventh Son of a Seventh Son fut le dernier album avec le guitariste Adrian Smith jusqu'en 2000 avec l'album Brave New World (il a écrit une chanson que Bruce Dickinson a terminé pour l'album suivant No Prayer for the Dying, intitulée Hooks in You).
The Clairvoyant a été la première chanson écrite pour l'album. Selon Steve Harris, les paroles de la chanson ont été inspirées par la mort du spiritualiste Doris Stokes, disant : « If she were really clairvoyant, if she were really able to see the future, wouldn't she have been able to forsee her own death? ».
Au moins cinq des chansons de l'album ("Moonchild, Infinite Dreams, Seventh Son of a Seventh Son, The Prophecy et The Clairvoyant) peuvent être directement liées à une histoire principale lyrique inspirée par le concept du folklore.
Lyriquement, l'album se concentre sur quelques principales idées philosophiques : le bien contre le mal, le mysticisme, la vision prophétique, la réincarnation et la vie après la mort. La quasi-totalité de l'album contient des références directes ou indirectes aux questions considérant à ces concepts et se réfère poétiquement aux réponses.
Stylistiquement, Seventh Son of a Seventh Son développe les premiers sons entendus sur Somewhere in Time (1986), et continue avec l'exploration des paroles du groupe de sujets liés au mysticisme, la puissance et l'occultisme.
Moonchild est un morceau inspiré par la magie et est tiré du Liber Samekh de l'écrivain et occultiste britannique Aleister Crowley.
L'album a débuté à la 1er place aux charts britannique (le premier album accédant à la première place depuis The Number of the Beast) et 12e aux États-Unis. Les singles Can I Play with Madness, The Evil that Men Do, The Clairvoyant et Infinite Dreams se sont classés respectivement aux 3e, 5e, 6e et 6e positions. De toutes les chansons de l'album, The Evil that Men Do, The Clairvoyant et Can I Play with Madness sont restées sur presque toutes les listes des chansons jouées en concert après la tournée 7th Tour of a 7th Tour.
User Album Review
None...
External Album Reviews
None...
User Comments