Album DescriptionAvailable in:
Life Thru a Lens est le premier album studio de l'auteur-compositeur-interprète anglais Robbie Williams. Après avoir essayé de trouver son son pendant une période de bouleversements personnels, les enregistrements de l'album ont commencé aux studios Maison Rouge de Londres en mars de cette année-là, peu après sa présentation à Guy Chambers. Robin Bresnark, écrivant pour Melody Maker en octobre 1997, a donné à Life Thru a Lens une critique très négative : "Il n'y a rien ici... bien sûr, Robbie Williams est un goon infortuné aussi fascinant qu'on puisse l'être. Mais cet album ressemble plus à un communiqué de presse qu'à un album - et ce n'est pas ce que j'appelle de la musique". Le titre "Life Thru a Lens" a été écrit à propos de Tara Palmer-Tomkinson, "Ego A Go Go" à propos de Gary Barlow, "South of the Border" à propos de Kate Moss, et "Baby Girl Window" a été inspiré par Samantha Beckinsale et son défunt père, l'acteur Richard Beckinsale. "One of God's Better People" et "Angels" ont été inspirés par Jan, la mère de Williams, tandis que "Hello Sir" est un poème qui s'en prend à l'un des anciens professeurs de Williams. Williams a repris la partie du poème sur la chanson "My Culture" de 1 Giant Leap.
L'album est sorti en septembre 1997, peu de temps après la cure de désintoxication de Williams. L'album a été lancé avec son premier concert en solo au théâtre de l'Elysée Montmartre à Paris, en France. Au début, l'album a été lent à décoller, débutant à la 11e place du UK Albums Chart, et tombant à la 104e place peu de temps après sa sortie, après avoir vendu un peu plus de 30 000 exemplaires. L'album a atteint la première place après avoir passé 28 semaines dans les charts, pour un total de 218 semaines, devenant ainsi le 58e album le plus vendu de tous les temps avec 2,4 millions d'exemplaires vendus. Malgré le succès de l'album dans le pays de Williams, il n'a pas eu d'impact plus important sur le marché international. Cependant, en Argentine, l'album a atteint le top 10 au début de l'année 1998. L'album s'est vendu à plus de 4 millions d'exemplaires dans le monde. Il a été certifié 8x Platine au Royaume-Uni.
User Album Review
Robbie Williams had 1995 to never forget, assuming he was ever in a state capable of recording the events that passed and, ultimately, defined the artist he soon became.
After drifting away from the other four members of the all-conquering boyband Take That ” his ideas were overlooked by creative spearhead Gary Barlow, and his drug consumption threatened to see him excluded from the group before a mutual decision was finally made and he left relatively amicably ” Williams wound up at Glastonbury, and was pap-snapped partying with members of the equally massive Oasis. Gossip columns flew into overdrive, and assumptions that a solo career beckoned were verified quickly enough when, the very next summer, Williams’ take on George Michael’s Freedom charted just a place shy of the top spot ” that’s 26 places higher than the 1990 original.
That track didn’t make it onto Williams’ debut album of 1997, a collection of co-writes with Guy Chambers that, while mostly unremarkable when assessed as standalone arrangements, comprise the solid foundations for all that followed: seven further solo albums (2009’s Reality Killed the Video Star marks his return after three years out of the spotlight), several number one singles, more BRIT awards than any other artist, and total sales worldwide of over 55 million.
No single from Life Thru a Lens topped the singles chart in the UK, but the album certainly trumped all comers in its category, buoyed by both the celebrity status of its (co) maker and the catchy nature of whistle-along tunes like Lazy Days, Old Before I Die and the here-I-am-world-stop-me-if-you-can excessiveness of Let Me Entertain You, a song that’s less about collaborative enjoyment of music between artist and audience, and more about Williams puffing out his chest and adopting a swagger that would see him through until the comparatively melancholic overtones of second album, I’ve Been Expecting You.
And, of course, there’s Angels. It’s hard to believe, given its prominence at weddings and funerals, on mainstream radio, and in supermarket aisles, that it only charted at four. But that’s the surprising fact of the matter. Less surprising is that Life Thru a Lens was just the beginning of a career that would eventually eclipse, commercially, that of even his former employers.
External Album Reviews
None...
User Comments