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Track List
01) Circus
02) Highwire
03) Clown
04) Trapeze
05) Shine on Sunshine
06) The Ring
07) The Jester
01) Circus
02) Highwire
03) Clown
04) Trapeze
05) Shine on Sunshine
06) The Ring
07) The Jester
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8:51
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1:17
3:38
Data Complete
50%
Total Rating
50%Total Rating
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Back Cover
CD Art
3D Case
3D Thumb
3D Flat
3D Face
3D Spine
First Released
1975
Hard Rock
Gritty
Rock/Pop
---
Medium
Album
0 copies
Album Description 
Bien sûr l'album contient "Clown", ce chef d'oeuvre absolu, limpide, hors du temps, d'une simplicité mélodieuse très "Floydienne" avec peut-être l'un des plus beaux solos de synthé de l'histoire du rock progressif, d'une pureté et d'une ligne mélodique sans pareil qui vous balance doucement avant que le chant et les chœurs vous enveloppent de nouveau: un grand moment d'émotion, une mélodie splendide chantée divinement par John Verity, le genre de morceau que l'on écrit une fois dans sa vie, en un mot : un pur moment musical (je me souviens de nombreuses personnes qui avaient acheté le disque à l'époque rien que pour ce titre). On rentre dans l'album et dans le vif du sujet avec le nerveux "Circus" lancé au mellotron, une intro très "Mahavishnu" avec une rythmique de feu et des arpèges de piano électrique façon "Birds of fire" qui déroulent avec un gros son énorme : bien venu au cirque chante John Verity !!
Après son intro "hispanisante", le très chaloupé "Highwire" nous balance tel l'équilibriste de la chanson qui fait son numéro sur la corde raide ("highwire"): Attention danger ! Alors que guitare et synthé s'en donnent à cœur joie dans de belles envolées très jazz-rock, le chant rappelle à l'ordre ("ça devient dangereux, je sens la foule gronder..."). "Trapeze" qui ouvre la face B du LP est un gros morceau, lancé par les synthés qui nous emmènent là où on ne les attendait pas: le morceau part dans un rythme funky assez génial, basse "groovy" et piano électrique du meilleur effet, gros chorus de guitare, bref un titre qui balance terrible. Moment d'apaisement avec la superbe chanson très "Beatles" que McCartney n'aurait pas reniée, "Shine on sunshine", bel instant de quiétude dans l'esprit de "Clown". Le petit intermède instrumental "The ring" joué aux synthés est là pour lancer le superbe "The jester", un titre enlevé, plus rock, aux solos de guitare rock 'n' roll et avec un petit final qui nous gratifie d'un beau ragtime au piano, comme un clin d'œil avant de quitter le spectacle. C'est déjà fini, et l'on trouve que le temps a passé vite tant cette musique était sympa à écouter. L'univers d'Argent est un bien chouette univers musical. On en reprend volontiers.... (Xanthul)
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Bien sûr l'album contient "Clown", ce chef d'oeuvre absolu, limpide, hors du temps, d'une simplicité mélodieuse très "Floydienne" avec peut-être l'un des plus beaux solos de synthé de l'histoire du rock progressif, d'une pureté et d'une ligne mélodique sans pareil qui vous balance doucement avant que le chant et les chœurs vous enveloppent de nouveau: un grand moment d'émotion, une mélodie splendide chantée divinement par John Verity, le genre de morceau que l'on écrit une fois dans sa vie, en un mot : un pur moment musical (je me souviens de nombreuses personnes qui avaient acheté le disque à l'époque rien que pour ce titre). On rentre dans l'album et dans le vif du sujet avec le nerveux "Circus" lancé au mellotron, une intro très "Mahavishnu" avec une rythmique de feu et des arpèges de piano électrique façon "Birds of fire" qui déroulent avec un gros son énorme : bien venu au cirque chante John Verity !!
Après son intro "hispanisante", le très chaloupé "Highwire" nous balance tel l'équilibriste de la chanson qui fait son numéro sur la corde raide ("highwire"): Attention danger ! Alors que guitare et synthé s'en donnent à cœur joie dans de belles envolées très jazz-rock, le chant rappelle à l'ordre ("ça devient dangereux, je sens la foule gronder..."). "Trapeze" qui ouvre la face B du LP est un gros morceau, lancé par les synthés qui nous emmènent là où on ne les attendait pas: le morceau part dans un rythme funky assez génial, basse "groovy" et piano électrique du meilleur effet, gros chorus de guitare, bref un titre qui balance terrible. Moment d'apaisement avec la superbe chanson très "Beatles" que McCartney n'aurait pas reniée, "Shine on sunshine", bel instant de quiétude dans l'esprit de "Clown". Le petit intermède instrumental "The ring" joué aux synthés est là pour lancer le superbe "The jester", un titre enlevé, plus rock, aux solos de guitare rock 'n' roll et avec un petit final qui nous gratifie d'un beau ragtime au piano, comme un clin d'œil avant de quitter le spectacle. C'est déjà fini, et l'on trouve que le temps a passé vite tant cette musique était sympa à écouter. L'univers d'Argent est un bien chouette univers musical. On en reprend volontiers.... (Xanthul)
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