Album Title
The Rolling Stones
Artist Icon Exile on Main St. (1972)
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3D Face
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3D Spine
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First Released

Calendar Icon 1972

Genre

Genre Icon Rock

Mood

Mood Icon Energetic

Style

Style Icon Rock/Pop

Theme

Theme Icon ---

Tempo

Speed Icon Medium

Release Format

Release Format Icon Album

Record Label Release

Speed Icon Rolling Stones Records

World Sales Figure

Sales Icon 0 copies

Album Description
Available in: Country Icon Country Icon Country Icon Country Icon
Exile on Main St. est le dixième album du groupe de rock anglais The Rolling Stones, sorti en 1972 et produit par Jimmy Miller. Seul double album studio des Rolling Stones, il explore toutes les facettes de la musique populaire américaine : rock'n'roll, blues, soul, gospel... Il est considéré comme un classique du rock et comme un des meilleurs albums des Rolling Stones.

Enregistré dans la cave de la Villa Nellcôte louée par Keith Richards à Villefranche-sur-Mer, sur la Côte d'Azur, Exile on Main Street est pour beaucoup de fans l'apogée de la discographie stonienne, le point d'orgue d'une période fabuleuse débutée avec Beggars Banquet en 1968. Jamais dans l'histoire du rock un album n'a autant personnifié le triptyque sex, drugs and rock'n'roll. Avec au final, un résultat sans commune mesure avec ce que le groupe produira par la suite. Il faut dire que les Stones ont soigné leur réputation de mauvais garçons. Héroïne, alcool : pendant cet été 1971, ils s'adonnent à tous les plaisirs, entourés d'invités divers et variés, parasites et vrais amis. Seuls le toujours sobre Charlie Watts et le fidèle pianiste Ian Stewart semblent vivre en dehors du cyclone. Conséquence : enregistrements chaotiques, répétitions qui s'éternisent, tensions entre Jagger et Richards... L'ambiance n'est pas tous les jours au travail, d'autant que le producteur Jimmy Miller lui-même lâche prise peu à peu, abruti par sa consommation de drogues multiples. Reste que musicalement, l'album est un sommet. Dans la chaleur du sud de la France, entre le vin et les joints, les Stones trouvent le bon tempo et Jagger fait des prouesses, alternant plaintes et rugissements, passages en douceur et vocaux dévastateurs. Dès le riff de Rocks Off, le ton est donné : désinvolture, moiteur et décadence... le tout enrobé d'une maîtrise technique irréprochable, portée par le duo de guitaristes Richards et Taylor. De l'urgence de Rip This Joint au gospel inspiré de Let It Loose, du charme acoustique de Torn and Frayed au blues lourd de Stop Breaking Down, de la jubilation de Loving Cup et Happy à la classe époustouflante de Shine a Light et de Tumbling Dice, les Stones font le tour du sujet avec brio, sans jamais trahir leurs racines. D'une unité de son stupéfiante, en dépit des différents genres musicaux abordés, Exile on Main Street est un hymne à la musique du cœur, celle qui transpire et fait vibrer. Avec la collaboration désormais habituelle de Bobby Keys au sax, Jim Price à la trompette et Nicky Hopkins au piano, les Stones ont réussi un véritable tour de force : réaliser un album qu'on croirait tout droit venu du delta du Mississippi, dans ce vieux sud américain que les Glimmer Twins vénéraient tant. Malgré tout Keith Richards déclare: "Il n'y a jamais eu vraiment d'orgies: on ne pouvait pas écrire, composer, jouer et faire la fête en même temps." De plus il assure qu'il n'y a jamais eu d'histoires de sexe comme des filles qui couraient toutes nues dans la résidence...

Comme le bon vin, Exile on Main Street n'a fait que se bonifier avec le temps. Aussi surprenant que cela puisse paraître aujourd'hui, l'album a reçu un accueil plutôt tiède de la part de la critique. Sans tube massif façon Jumpin' Jack Flash ou Brown Sugar, plus dur d'accès que les albums précédents, Exile a d'abord eu du mal à accrocher le public. Puis le temps a fait son œuvre et l'album est aujourd'hui porté au firmament du rock. Pour son intégrité et sa cohérence d'une part, pour ce qu'il porte de subversif et de rock'n roll attitude d'autre part. Les Stones eux-mêmes reconnaissent son importance dans leur discographie, même si Jagger l'a jugé un jour « surestimé », déplorant certains mixages. Une façon de désacraliser le mythe sans doute, car il serait bien le seul à faire la fine bouche.

Une version remasterisée de l'album est sortie le 17 mai 2010 comprenant dix nouveaux titres. La plupart de ces inédits sont en fait des instrumentaux datant de l'époque de l'enregistrement de l'album auxquels des voix, guitares, et chœurs enregistrés en 2009 ont été ajoutés.
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User Album Review
Like a musical scrapbook chronicling the decay, decadence, excess and torpor of the Stones’ camp, this rough and ready collection of curios, questionable filler, and the occasional flash of blazing brilliance is frequently hailed as one of the best all-time albums.
At first glance it’s not easy to see why. Jagger is sometimes barely audible in the already overcrowded channels, as though his parts are a grudging concession to commercial needs. Just about every track is filled with knotted tangles of drums, keyboards, horns, guitar, hoots, handclaps and sundry embellishments, all snarled up in the often impenetrable murk of the mix: a bit like the aural equivalent of your soles sticking to a grungy club carpet.
Like the band itself, the record was strung out between different locations and times. A newlywed Jagger was understandably distracted, whilst Keith Richards was holed up in the squalid luxury of his southern France mansion awash with drugs, booze and a legion of hangers-on. Such was Bill Wyman’s distaste for the company kept at Chez Keef, he was only on eight out of a possible eighteen backing tracks. Indeed it could almost be a textbook demonstration of how not to record an album.
Yet out of such adversity there emerges moments of astonishing intensity that you find yourself forgiving them their industrial-quantity sins. The hard-won insolence of Tumbling Dice (rumoured to have gone into 100 plus takes) and driving urgency of Rocks Off, whilst being busy full-on Stones highpoints, somehow find their match in the stripped-back minimalist slapback of Shake Your Hips. Elsewhere, I Just Want to See His Face sounds as though a roving microphone had chanced upon a revivalist meeting somewhere in the deep South of their minds.
Let It Loose - a real gem of a ballad, with cascading piano - feels like the emotional heart of the album, breaking free of the uninspired blues-by-the-numbers and too-lazy licks that dominate. When it does click together though, this is an oddly moving experience, reminding us why the Stones, even at their most dishevelled, aren't to be underestimated.


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